Maintenant que nous avons chacun de notre coté des pieds à terre dans le Doubs, nous pouvons en profiter pour faire des sorties spéléos.
Nous avons entre le 1 et le 4 août réalisé une sortie photos sur trois cavité emblématique de ce département.
A notre arrivée a Besançon suite à la découverte de cavités lors de travaux sur le quartier Vauban les hydrogéologue ont réalisé une coloration ce qui nous a permis de faire quelques photos du Doubs teinté à la fluorescéine en plein centre ville.
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| Coloration du Doubs |
Le samedi 1 août après la visite du musée archéologue de Besançon, nous nous rendons chez notre ami Dominique pour avoir la clef de la grotte de Saint Vit.
Après un retour sur Besançon et un petit repas rapide nous voici à l'entrée de la cavité, nous en profiterons pour faire une petite sortie initiation pour Isabelle.
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| L'entrée de la cavité |
La grotte de Saint Vit, est située sur la commune du même nom, s'ouvre en plein village, elle a un développement de 263 m pour un dénivelée de 11 m.
Photographes : Jean Marie et Baptiste - Modèle : Pascal
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| Dans la galerie principale (photo GJM) |
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| Dôme stalagmitique (photo GJM) |
Ce gouffre a fait l'objet d'un nettoyage complet et d'un balisage par les spéléos du GCPM en 1991 ce qui en fait désormais une cavité d’exception
Le gouffre a un développement de 277 m pour une profondeur de - 33 m, pour accéder à la galerie principale il faut équiper et descendre deux petits puits 5 m et 20 m puis après la descente d'un talus d'éboulis on suit une belle galerie concrétionnée.
Photographes : Jean Marie et Baptiste - Modèle : Pascal
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| Stalagmite (photo GJM) |
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| Émerveillement (photo GJM) |
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| Concrétions en pile d'assiettes (Photo GJM) |
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| Ensemble (photo GJM) |
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| Draperies (Photo GJM) |
Le mardi 4 août direction Orchamps Venne pour l'exploration du gouffre des Ravières. Le gouffre se compose d' un puits de 18 m qui permet d'accéder à deux salles de très grandes dimensions.
L'entrée est originale en effet au début du XXème siècle un maire a fait construire une voûte plein cintre afin que les paysans ne jettent plus les cadavres d'animaux dans le gouffre. Eugène Fournier père de la spéléologie comtoise devra démonter quelques moellons en extrémité de voûte pour visiter le gouffre. C'est par ce trou d'homme que la visite est toujours possible aujourd'hui.
Le rayon de soleil qui pénètre par l'entrée le matin réhausse la beauté du gouffre.
Photographe : Baptiste - Modèles : Pascal et Jean Marie
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